Un jour il oublia de se réveiller dans son propre corps, de donner suite à la sensation d être lui-même. Ce lien entre son « moi » et son corps, s’était cassé. Il désirait sculpter encore une fois, mais l’absence de mains et le contact inexistant avec la matière rendaient cela impossible. Il n’était plus personne.
Série de bustes de Rodin. Je souhaite faire une dizaine de versions différentes pour les exposer en 2017. Pour l’instant j’en ai réalisé quatre, ces trois là plus celui qui est exposé le mois de décembre à la Galerie de l’Echarpe à Toulouse.
J’ADORE—cette comparaison(peut-etre n’est-ce pas le bon mot–) entre l’etre et l’au dela—-répendre les cendres d’un corps, et permettre a l’ame de s’envoler, de caresser les etres aimés , -, ou qu’il soient—la liberté dans l’espace —la presence dans la pensée fait que Personne reste quelqu’un, meme si ses mains,telle une brise, ne font plus qu’ effleurer l’argile–comme Rodin !
evlyne h
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Je crois qu’on voit cet autre espace de la même façon ! Peut-être arriverons-nous à laisser une trace sur l’argile depuis cet autre espace-temps… on va essayer…
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Un cauchemar pour l’être humain, l’artiste, le sculpteur,… lorsque le lien entre le « soi » profond et le corps est rompu, nous ne sommes en effet plus personne….
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